Le blog de Nathalie ELIMAS Démocrate, libre et indépendante.

6ème circonscription du Val d'Oise: Soisy-sous-Montmorency, Andilly, Margency, Enghien les Bains, Deuil la Barre, Montmagny, Sannois, Saint-Gratien

Le  blog  de  Nathalie  ELIMAS  Démocrate, libre et indépendante. - 6ème circonscription du Val d'Oise: Soisy-sous-Montmorency, Andilly, Margency, Enghien les Bains, Deuil la Barre, Montmagny, Sannois, Saint-Gratien

Le vote blanc adopté à l’unanimité par l’Assemblée Nationale

C’est une idée portée haut et fort par François Bayrou. La reconnaissance du vote blanc à toutes les élections figurait parmi les propositions qu’il souhaitait soumettre au Français s’il était élu Président de la République dans un référendum sur la moralisation de la vie publique.

Après 10 ans de combat politique, cette avancée de la vie démocratique est enfin une réalité.  C’est une avancée démocratique dans le sens où jusqu’à présent beaucoup d’électeurs choisissaient ce mode d’expression sans que l’on en tienne compte, or, le vote blanc est une démarche qui est une expression d’insatisfaction de l’offre politique.

Il n’est pas un bulletin nul et reconnaitre ce vote blanc c’est entendre un message de mécontentement. Au regard du taux d’abstention toujours croissant, à l’occasion des dernières élections, sa reconnaissance permettra peut être de réconcilier les Français avec la vie politique.

Yann Wehrling, porte-parole du Mouvement Démocrate, s’est réjoui de l’adoption à l’unanimité par l’Assemblée nationale, de cette  proposition incarnée depuis dix ans par François Bayrou. “Nous nous réjouissons de l’adoption à l’unanimité par l’Assemblée nationale de la reconnaissance du vote blanc. Les parlementaires de tous bords ont su prendre leurs responsabilités, en faveur de cette proposition que porte haut et fort François Bayrou depuis 2002″, a souligné le porte-parole du Mouvement Démocrate.

25/11/2012 at 7:11 pm
No comments
Nel

“Je me bats contre tous les sectarismes, d’un camp comme de l’autre !”

François Bayrou était l’invité du journal Le Parisien – Aujourd’hui en France, dimanche 18 novembre. Le président du Mouvement Démocrate a rappelé que, face à la crise, “l’effort à fournir pour conjurer le danger ne sera pas celui d’un parti mais celui de la Nation”.

Vous avez trouvé François Hollande convaincant lors de sa conférence de presse. Des élus du MoDem ont été reçus mercredi à l’Elysée… C’est le début d’une grande histoire ?
François BAYROU – François Hollande a annoncé un tournant majeur de sa politique, en direction d’idées et de principes que je défends pour ma part depuis dix ans. Vous croyez que j’aurais pu ignorer cette réorientation ? Nous sommes un courant politique libre. Notre vocation est d’approuver et soutenir les choix justes et courageux, d’être vigilants sur l’application et au contraire de refuser les mauvais choix.

Ce n’était donc pas un appel du pied ?
Ni appel du pied, ni connivence, ni manœuvre. Quand je suis en désaccord, je le dis, quand je suis d’accord, je le dis aussi. Le cap que François Hollande a annoncé est courageux : il va entraîner des conséquences très exigeantes et même très rudes. Car économiser 30 milliards d’euros sur la dépense publique entre 2013 et 2014, 60 milliards en tout d’ici 2017, c’est vital, mais c’est très difficile.

“LE PS AU POUVOIR CHOISIT, ENFIN, LA SOCIAL-DÉMOCRATIE”

Vous disiez que le quinquennat de François Hollande se jouerait là…
Oui, je le crois. Il s’est passé mardi dernier quelque chose d’essentiel, comparable à ce que les socialistes allemands ont fait en renonçant au marxisme en 1959 à Bad-Godesberg. Le PS, au pouvoir, choisit enfin ouvertement la social-démocratie, l’acceptation du réel et des disciplines qui vont avec. Depuis des décennies, le discours de la gauche était toujours ramené à la dépense publique, à l’intervention de l’Etat et au refus des réformes. François Hollande, six mois après son élection, propose une autre voie : le soutien aux entreprises, le désendettement et l’engagement de la France dans la compétition européenne et mondiale. Pierre Moscovici a parlé de révolution copernicienne. C’en est une. Encore faut-il que les actes suivent.

Pourquoi alors ne pas rejoindre la majorité, ou participer au gouvernement ?
Je ne veux d’aucun ralliement : je veux que la politique change en France ! Qu’on puisse réunir les gens responsables pour soutenir les choix essentiels pour le pays. Tout ce qui me paraît bon pour la France, je le soutiendrai. Il faut ajouter que, pour l’instant, c’est un tournant impressionnant, mais ce sont des intentions : il faut voir les actes et les choix, les décisions et le réel.

La France est-elle la bombe à retardement de l’Europe, comme l’écrit l’hebdomadaire britannique The Economist ?
Dans la chaîne des pays européens, le maillon français est un maillon fragile. Nous avons un modèle social et un modèle de services publics très exigeants et très chers, un endettement massif. Et nous n’avons plus l’économie capable de fournir les ressources nécessaires. Nous n’avons pas fait dans la dernière décennie les réformes nécessaires pour que notre pays redevienne un pays de production, créateur de richesses et d’emploi. Maintenant, c’est l’heure de la mobilisation générale.

“CE QUI ME NAVRE, C’EST DE VOIR L’OPPOSITION CRITIQUER PAR RÉFLEXE”

Vous avez décerné un bon point à Hollande, vous vous êtes dit « prêt à travailler » avec Borloo, vous jugez Fillon « responsable »… Tout ceci est-il bien cohérent ?
Ne voyez-vous pas que c’est précisément mon engagement ? Je me bats contre tous les sectarismes, d’un camp comme de l’autre ! Dans un pays en crise, le sectarisme est mortel ! Regardez l’Italie, les Pays-Bas, bientôt l’Allemagne, partout on se réunit pour soutenir les décisions d’intérêt vital. Ce qui me navre, c’est de voir en France l’opposition critiquer, par réflexe, même ce qu’elle voulait mettre en œuvre hier… Et la gauche applaudit à ce qu’elle condamnait et refusait hier. Ce jeu de rôles est insupportable dans les temps dangereux. Sommes-nous aveugles devant ce qui nous menace ? L’effort à fournir pour conjurer le danger ne sera pas celui d’un parti mais celui de la Nation. Réforme des retraites, réforme du droit du travail, réforme de l’Etat, réforme de la Sécurité sociale, tout cela va devoir être mis en chantier. Et personne ne pourra réussir en s’appuyant sur un seul parti.

Dans cette perspective, pour la présidence de l’UMP qui se joue aujourd’hui, Fillon vous paraît plus « responsable » que Copé ?
Cette élection ne me concerne pas directement, mais j’observe qu’il y a deux lignes claires en confrontation : une qui prône l’affrontement, l’autre le rassemblement. Il est évident que pour moi l’intérêt du pays, c’est le rassemblement.

Manuel Valls appelle les Corses à rompre la loi du silence pour endiguer les meurtres et la violence. C’est suffisant ?
La première chose à faire, et qui est douloureuse pour la France et son État, c’est de reconnaître sans langue de bois que comme en Italie des mafias ont pris pied sur le sol français, en Corse et peut-être au-delà. Or on ne combat pas les mafias comme on combat la délinquance ordinaire.

Il faut des lois spéciales, comme en Italie ?
S’il faut des outils juridiques spécifiques, et du renseignement, une police et une gendarmerie et des services fiscaux spécialement formés, il ne faut pas hésiter.

“CEUX QUI AIMENT LA TRADITION NE SONT PAS MOINS DIGNES D’INTÉRÊT QUE CEUX QUI VEULENT DES CHANGEMENTS”

Les opposants au mariage pour tous défilent ce week-end. S’il est voté, c’est irréversible ?
Bien sûr, ce sera irréversible. Cela me fait d’autant plus regretter que l’on ait choisi l’épreuve de force ou en tout cas écarté le débat et la communication. Je suis certain qu’on pouvait mieux concilier les attentes des couples homosexuels et les attentes de ceux pour qui le mariage traditionnel est un élément structurant de la société. Ceux qui aiment la tradition ne sont pas moins dignes d’intérêt que ceux qui veulent des changements. La voie que j’ai proposée peut concilier ces différentes attentes : qu’on accorde la reconnaissance de l’état-civil, et un ensemble de droits aux couples de même sexe et que ce statut soit nommé « union » plutôt que « mariage ». Ainsi le statut de la filiation par mariage ne serait pas remis en cause, et les droits des couples et des enfants élevés dans l’homoparentalité également reconnus.

Sur le mariage gay, comme sur le droit de vote des étrangers, l’opinion semble aujourd’hui moins favorable qu’il y a un an…
C’est vrai. Et sur le droit de vote des étrangers, Hollande a bien fait de refuser l’affrontement.

Il cherche une majorité pour l’adopter. Vous en serez ?
Je ne vois pas une majorité se dessiner sur ce sujet, y compris parmi mes amis.

NOTRE-DAME-DES-LANDES: “LE DÉBAT SUR CET AÉROPORT MÉRITE D’ÊTRE ROUVERT”

Avec son sous-sol riche en gaz de schistes, la France est-elle assise sur un tas d’or ?
La révolution des gaz de schiste a permis aux Etats-Unis de retrouver emplois et croissance. Le prix du gaz y a été divisé par six en cinq ans. S’il peut exister un procédé pour l’extraire chez nous sans atteinte à l’environnement, il serait déraisonnable de ne pas le chercher. En France, comme en Europe. A Lacq, dans mon pays béarnais, on extrait du gaz depuis cinquante ans. Et il y a bien eu des injections pour « booster » l’extraction. Tout cela sans dommage. Je me dis souvent que si on découvrait le gisement aujourd’hui, les « mobilisations » diverses empêcheraient sans doute de le valoriser.

Les écolos en font-ils trop ? Sur Notre-Dame-des-Landes par exemple ?
Sur ce dossier, au contraire, je comprends très bien les résistances. L’utilité de ce nouvel aéroport est contestée avec des arguments sérieux. Rien ne dit que l’actuel aéroport de Nantes ne serait pas suffisant pour absorber le trafic, et ce pour une très longue période. Le débat mériterait donc d’être rouvert. Mais l’UMP et le PS s’accordent pour le rejeter.

18/11/2012 at 10:19 pm
No comments
Nel

Magnymontois vous avez un nouveau Maire

C’est officiel depuis hier soir.

Patrick Floquet, 62 ans et alors 1er adjoint de Michel Roy, a été élu Maire par le conseil municipal.

C’est sans passion que s’est déroulé ce changement de gouvernance dans une ambiance de continuité. Les huit adjoints ont d’ailleurs tous été reconduits dans leurs fonctions, le nouveau maire conservant la charge des finances.

L’ancien maire PS (de 1995 à 2001) Hervé Beaumanoir a tenu d’emblée à lui rappeler les défis auxquels il devra faire face pendant les quinze mois de mandat qui restent avant les élections municipales. « Le projet de rénovation du centre-ville semble à l’arrêt, a-t-il souligné. L’insécurité qui y règne est aussi une inquiétude. » Il a évoqué également la disparition de petits commerces et de certaines animations locales. Dans ce contexte financier difficile, marqué par un endettement passé de 13 M€ en 2001 à 19,2 M€, l’ancien maire a suggéré une démission collective, qui aurait permis, selon lui, à une nouvelle équipe « de repartir avec un vrai projet ».

René Taieb, chef de file PS de l’opposition PS/ MoDem et Thierry Mansion, élu Démocrate ont enfoncé le clou.« Cette majorité nous fait encore plus peur car il y a à sa tête l’adjoint aux finances! Vous avez revendu 250000 € le Franprix racheté 650 000 € et payé 270 000 € l’agence immobilière estimée à 117 000 €… » Tout à fait rassurant Monsieur le Maire. Extrait JT Conseil Municipal Montmagny

16/11/2012 at 6:41 pm
No comments
Nel

Démission de Michel Roy, maire de Montmagny- 6ème circonscription Val d’Oise

L’information circulait depuis quelques jours, mais elle est maintenant officielle. Le maire (UMP) de Montmagny, Michel Roy, vient d’annoncer sa démission, mettant en cause le climat social qui règne actuellement au sein des services municipaux.

Je suis usé, fatigué”, lance-t-il.
Cette démission est à mettre selon lui sur le compte “des nouveaux syndicalistes arrivés voici un an et demi”. Et d’expliquer : “On me dit que je fais souffrir mon personnel, si c’est ça j’en tire les conclusions, je ne veux plus travailler dans ces conditions. Je vais profiter de ma retraite”. L’élu dénonce “un acharnement“.
Je constate que je ne peux plus faire mon mandat  de maire sans pression forte de la part des nouveaux syndicalistes. Personne ne croyait que je prendrai cette décision, je l’ai décidé voici trois semaines. Ma démission est effective le 15 novembre.”et précisant toutefois qu’il n’avait pas prévu de solliciter le renouvellement de son mandat en 2014.

Monsieur Roy est maire de cette commune depuis mars 2001 et en restera conseiller municipal. Son premier adjoint, Patrick Floquet, en charge des finances de la commune, et responsable des 2 emprunts toxiques de celle-ci devrait lui succéder.

Montmagny en effet comme bon nombre de communes, supporte ce type d’emprunt.On en parle, rarement, et le terme finalement n’a de sens que pour “les initiés”. Faisons donc un peu de pédagogie.

Qu’est ce que c’est qu’un emprunt toxique? et  en quoi se distingue-t-il d’une dette ‘normale’ ?

Une dette normale, pour une collectivité comme pour un particulier, est une dette à taux fixe, ou à taux variable simple.Si le taux est variable, le principe est que le taux à payer suit plus ou moins l’inflation. Si l’inflation est basse, le taux à payer est en général plus faible qu’un taux fixe. Si l’inflation monte, le taux monte également et peut être supérieur au taux fixe valable au moment où l’emprunt a été mis en place.  Une collectivité peut être endettée à taux fixe, à taux variable, et le plus souvent avec une combinaison de ces deux choix ‘normaux’. La gestion de dette classique consiste à répartir la dette entre une partie fixe et une partie variable de manière à équilibrer les ressources et les charges de la collectivité. Cette gestion de dette est parfaitement légale et conforme à l’esprit des lois en vigueur depuis les années 1990.

Comment se distinguent les emprunts toxiques ?

Les emprunts toxiques se distinguent par l’existence d’une formule de calcul du taux autre que la formule simple “taux variable + marge”. Il peut s’agir de types de formules extrêmement divers, utilisant des taux d’intérêt, des taux de change, voire des taux d’inflation.

Ils fonctionnent sur le modèle suivant : trois ou quatre ans après le début du prêt, débute la phase dite «structurée». Les taux sont alors calculés en fonction de formules absconses, à partir d’indices financiers très variés (comme le cours du franc suisse, du yen, du dollar ou les CMS, un taux de référence utilisé uniquement par les investisseurs avertis). Et ce, pendant une période de 15 à 25 ans. Ce qui veut dire que, durant cette période, n’importe quelle évolution (à la hausse ou à la baisse) des marchés peut avoir des répercussions énormes sur le taux de remboursement de la collectivité.

Pour la commune de Montmagny la situation à ce jour est la suivante: Montant total des emprunts 6 240 000 € Montant total des surcoûts1 491 000 €  Ratio surcoûts/montant total 23.89 %

La charge du futur Maire de la commune est donc délicate… Déjà largement contesté dans son rôle d’adjoint en charge des finances on peut se demander comment les relations vont évoluer avec le conseil municipal, les syndicalistes qui ne devraient pas baisser la garde et les Magnymontois.

Quel avenir sera proposé à cette commune endettée et souffrant d’un niveau d’insécurité déjà particulièrement élevé?

Thierry Mansion, conseiller municipal d’opposition- Mouvement Démocrate - de la commune reste très inquiet de la situation et se demande qui, le 15 Novembre prochain, reprendra l’épineux dossier des Finances de la commune…

 

 

Consultez ici la carte de France des Emprunts toxiques

Communiqué de Presse Démission de Michel Roy

 

 

06/11/2012 at 12:52 pm
No comments
Nel

Pour un débat de fond autour de l’égalité des droits

Le mariage n’est pas un droit, mais une institution. Il est même un sacrement dans certaines religions.

Le mariage est une institution, c’est à dire une tradition fondée  sur des principes normatifs, sur des valeurs.

Ce n’est pas un acquis social ni un privilège, mais c’est une institution.

Le mariage est un acte public, juridique et solennel par lequel un homme et une femme s’engagent l’un envers l’autre dans la durée, devant et envers la société, pour fonder ensemble un foyer. En se mariant, les époux font ensemble une double démarche.

Ils acceptent et reconnaissent l’institution du mariage et la loi commune qui la régit, mais en retour, ils demandent à la société de reconnaître l’existence et la valeur de leur engagement mutuel et de leur assurer la protection de la loi.

Le mariage n’est donc pas un acte par lequel 2 personnes qui s’aiment se feraient plaisir mais  il vient cimenter et légitimer notre modèle de société. Il existe en effet des sociétés où le mariage se contracte entre plus de deux personnes, c’est la polygamie. Il existe des sociétés où le consentement mutuel n’existe pas pour contracter le mariage, comme en islam. Il existe même des sociétés où la notion d’amour entre les conjoints est totalement absente.

Dans la notre, héritière d’une longue tradition le  mariage est un don libre et mutuel d’un homme et d’une femme. Pour autant elle est laïque, moderne et non religieuse .

Cela signifie que nous nous devons de protéger l’égalité des droits de chacun. Les homosexuels ont les mêmes devoirs que les hétérosexuels, ils payent les mêmes impôts, agissent sous les mêmes lois. Ils doivent  donc  avoir les mêmes droits. Et je pense là aux droits patrimoniaux, successoraux. L’homoparentalité existe pour des centaines de milliers d’enfants en France. Ces enfants, doivent être protégés.

C’est indiscutable. Mais pas dans n’importe quelles conditions. L’institution du Mariage doit  être préservée autant que les droits de chacun doivent être respectés.

On ne peut pas déconstruire aussi vite le droit de la famille, balayer les notions de père et de mère, comme on ne pourra pas démarier les couples homosexuels        ( comme se plaisent à le dire certains).

Une concertation doit avoir lieu là où la précipitation laisse place à une diabolisation, à une incompréhension de part et d’autre. Notre société évolue perpétuellement et nous devons nous adapter. Trouver des consensus, des équilibres entre l’héritage et notre évolution pour que les droits de tous soient préservés.

La proposition de François Bayrou pour une Union des couples homosexuels devrait être développée et entendue. Et çà n’est pas là un simple jeu de sémantique…

Mais au fond, j’espère que le gouvernement reportera ce projet de loi à des temps plus sereins pour se consacrer à l’urgence, la vraie, dans laquelle notre pays est enlisé.

La compétitivité de la France suscite-t-elle autant d’agitation ?

05/11/2012 at 9:17 pm
No comments
Nel